Endgame
Depuis qu'il a été témoin du meurtre de sa fiancée, l'ancien champion d'échecs Arkady Balagan vit cloitré dans sa chambre d'hôtel, terrorisé à l'idée de se mélanger à la foule. Comme il faut bien payer ses factures, le russe s'improvise enquêteur, aidant la police à résoudre des affaires délicates. Sans ...
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Terminée | Canadienne | 45 minutes |
Drame, Policier, Action, Adventure, Drama | Showcase, Showcase (CA) | 2011 |
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1.09 - Huxley, nous avons un problème
Huxley, We Have a Problem
Oleg Olesky, un astronaute russe qui est aussi le plus vieil ami de Balagan, débarque à l'Hôtel Huxley. Il est sur le point de faire le lancement inaugural de la première fusée touristique. Lorsque l'ingénieur en chef, Randall, tombe du toit de l'hôtel, Oleg est considéré comme le principal suspect. Au moment du meurtre, il affirme qu'il était avec la femme de son patron, ce qu'elle nie. Balagan tentera de découvrir les véritables motifs derrière cet assassinat.
Diffusion originale : 09 mai 2011
Diffusion française :
09 mai 2011
Réalisat.eur.rice.s :
Anne Wheeler
Scénariste.s :
Graeme Manson
Guest.s :
Hilary Jardine
,
Ronald Patrick Thompson
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Critique : Endgame 1.11
Malgré la triste nouvelle de l'annulation du show, hors de question pour moi de lâcher Arkady avant le dernier épisode. Au programme, des parties d'échecs à enjeu, un épisode qui resserre les liens entre Sam et Balagan et un climat trop tendu qui ne convient pas à Endgame.
Critique : Endgame 1.13
Peu importe que cet épisode ait été un succès d'audience ou la campagne à laquelle j'ai tenté de participer au mieux pour sauver ce show, Endgame risque de s'achever sur un fort sentiment de frustration. Au programme, un meurtre, beaucoup de rires et la révélation d'un grand showrunner : Avrum Jacobson.
Critique : Endgame 1.12
Episode délicieux où je retrouve tout ce que j'apprécie dans la série Endgame, soit un mélange harmonieux entre la comédie et le cop show. Au programme, une star du rock et un ours polaire qui a le droit de manger les décideurs de Showcase Canada.
Ca fait toujours plaisir de voir Peter Wingfield, et c'est ce qui m'a fait remonter la note. Mais l'intrigue est malheureusement téléphonée. Et ça, c'est dommage.